La clinique du souffle du Pontet vient d'ouvrir ses portes
05/11/2020
Depuis le tout début du XXème siècle, la commune d’Hauteville-Lompnes a accueilli plusieurs sanatoriums. Ils ont marqué l’histoire de la ville et son cadre bâti. Les sanatoriums ont été progressivement transformés depuis les années 70 pour devenir des centres de rééducation.
Comme un fier héritage de l’histoire, la clinique du souffle du Pontet vient d’ouvrir ses portes. Cet établissement de soins de suite et de réadaptation (SSR), spécialisé dans le traitement des maladies respiratoires, est né du regroupement de la clinique Le Modern et de la clinique Clair Soleil.
Situé entre l’avenue de Lyon et la route de Cormoranche, à proximité du centre village d’Hauteville, il a été pensé et conçu selon les meilleurs critères de performance environnementale et énergétique. Sa toiture végétalisée tempère les variations thermiques, il est alimentée par la chaufferie collective au bois du réseau de chauffage urbain et, en complément, l'installation de panneaux solaires optimise la consommation d'eau chaude sanitaire.
Aujourd’hui, géré par Korian, premier groupe européen de soin au service des personnes âgées et fragiles, ce site unique de 5.200 m2 accueille 85 lits d'hospitalisation complète et un hôpital de jour.
Nous sommes fiers de cette conception réalisée avec le cabinet d’architectes Bel Air architecture et le bureau d'études ICT, en étroite collaboration avec les professionnels de santé.
Les professionnels en parlent :
Anne Bonnet, responsable qualité : « Nous disposons de 85 lits d’hospitalisation et de cinq places en hôpital de jour. Avec des équipements de pointe, comme le plateau technique innovant et spacieux qui inclut notamment un gymnase, une piscine de balnéothérapie et une salle de réentraînement à l’effort. À cela s’ajoute la salle de restaurant climatisée et lumineuse avec un service à l’assiette d’une restauration fournie par les cuisines du centre hospitalier public »
L’établissement conforte le socle économique de la station, qui repose essentiellement sur son activité médicale et il sauvegarde 80 emplois, un temps menacés de délocalisation.